Effectuez votre procédure de divorce avec votre avocat à Colmar
Vous envisagez un divorce mais ne savez pas comment procéder ? Recourir à un avocat est obligatoire lors d’un divorce. Dans nos bureaux de Colmar et de Ribeauvillé, Maître Nicolas SIMOENS est à votre disposition pour vous accompagner dans cette procédure qui peut parfois s’avérer difficile et douloureuse, en vous aidant et vous conseillant afin de prendre les bonnes décisions.
Nous sommes là pour faire respecter vos droits, et mettons nos vingt-cinq ans d’expérience à votre service. Besoin d’un conseil ou de plus d’informations ? Contactez-nous pour prendre un rendez-vous !
Quel est le rôle d’un avocat dans une procédure de divorce ?
Dans ce type de procédure, engager et faire intervenir un avocat est obligatoire. C’est en effet lui qui se chargera de rédiger tous les actes qui valideront cette procédure : la requête de divorce, qui sera le point de départ d’un divorce, la demande en divorce qui suivra ainsi que les écritures déposées pour faire valoir vos droits devant le tribunal face à votre futur ex-conjoint mais aussi la convention en cas de divorce par Acte d’avocat et homologation chez un notaire. Le professionnel du droit que nous sommes vous accompagnera dans toutes vos démarches, en plus de vous représenter devant la justice dans le cas d’un divorce conflictuel.
Quels sont les types de divorce ?
Il existe deux grandes catégories de divorce. La première est le divorce à l’amiable, qui s’effectue par consentement mutuel en la présence d’un notaire et non d’un juge. Si vous ne parvenez pas à trouver un accord, il vous faudra alors envisager un divorce engagé par l’un des époux contre l’autre, qui doit reposer sur l’un des trois fondements suivants : pour faute, pour altération définitive du lien conjugal et pour acceptation du principe de la rupture du mariage (divorce amiable dans son principe).
Comment se partagent les biens lors d’un divorce ?
Le partage des biens lors d’un divorce diffère selon le régime matrimonial auquel l’union des parties a été soumis.
Dans le cadre d’un régime de séparation de biens, il n’existe aucun bien commun. De ce fait, il ne doit être procédé qu’aux partage des biens acquis indivisément. En revanche, la situation est différente en cas de régime de communauté, aussi bien réduite aux acquêts qu’universelle.